Les engins de chantiers et matériel industriels représentent une potentielle source de danger pour les salariés et les clients s’y trouvant à proximité. Certaines vérifications et maintenances sont alors requises par le Code du travail afin de garantir la sécurité de tous. Voyons ensemble toutes les informations relatives aux Vérifications Générales Périodiques. (VGP)
EIE France vous accompagne et vous conseille dans ces démarches, afin garantir la mise en conformité légale de vos engins et de votre activité. Ne prenez pas ça à la légère !
Qu’est-ce-que les VGP ?
Les Vérifications Générales Périodiques sont un ensemble de vérifications à effectuer sur les machines industrielles, les engins de chantier et de levage. Elles doivent être réalisées par des personnes habilitées, en interne ou en externe. Les conditions légales d’exécution et les contrôles pratiqués lors des VGP sont définis par l’Arrêté du 1 mars 2004.
Les VGP sont-elles obligatoires ?
Oui, les VGP représentent une obligation légale pour toutes les entreprises disposant d’engins de chantiers et/ou de matériel industriels.
L’Article L4321-1 du Code du travail stipule : « Les équipements de travail et les moyens de protection mis en service ou utilisés dans les établissements destinés à recevoir des travailleurs sont équipés, installés, utilisés, réglés et maintenus de manière à préserver la santé et la sécurité des travailleurs, y compris en cas de modification de ces équipements de travail et de ces moyens de protection. »
On ne peut pas être plus clair, il faut les faire !
Quand dois-je effectuer mes VGP ?
La périodicité dépend de la catégorie des engins à vérifier. Les engins de levage n’auront, pas exemple, pas la même périodicité que les fermetures industrielles.
Il vous faudra effectuer des VGP tous les ans concernant vos équipements de quais, vos fermetures industrielles et vos engins de nettoyage !
EIE France et ses équipes de professionnels vous accompagnent dans la mise en conformité de vos portes industrielles et de vos équipements de quais !
Quels sont les risques encourus si je ne les effectue pas ?
En cas d’accident survenu sur le lieu de travail en cause d’un engin non vérifié, le chef d’entreprise risque des poursuites civiles et sa responsabilité pénale pourra être engagée. Il pourra être condamné à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende.
En cas de simple contrôle, le chef d’entreprise s’expose à une amende de 3750 euros, multipliée par le nombre de salariés impliqués par l’infraction.
En bref, nous vous conseillons de ne pas prendre à la légère ces vérifications règlementaires. Vous pourriez gravement mettre en péril l’avenir de votre activité et la sécurité de vos salariés !
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